Si je te lance un caillou tu ressentiras alors le véritable poids de ma pensé, le véritable poids de mon ressenti a l’état de sa gravure actualisé au présent, je m’ inscrit alors dans le lourd, je m’ inscrit alors dans la masse, laissant ainsi apparaitre à cette occasion mes paysage montagneux aux reliefs épineux ,

circulant avec cet arrête coincé dans la gorges je continue a gravé et a sillonné de mon saphir ce que je pense au présent née de mes accumulations passé raclant ainsi la matières avec force, je forge la matière avec de la matière continuellement, fabricant de la vapeur d’onde je cumule et cumule des nuages que je créé à partir de mes sentiment/ressentiment/frustrations et qui viendrons remplir le ciel petit à petit, s’additionnant alors à vos pensé nous créons ensemble des tempêtes et des éclairs, qui eux même ce transformerons à leurs tour en stress ou en bien d’autres choses négative , laissant alors apparaitre aux yeux de mon entourages éveillé le rôle que je me suis attribué et que j’ai maintenu sans relâche pour jouer cette pièce de théâtre que j’ai créé moi-même,

je m’aperçois que je créé aussi le décors qui va avec, et dans lequel je suis la star de moi-même .

Sachant cela je m’aperçois maintenant que chaque humain ainsi que toutes vies qui emprunte un véhicule de matière suit ce même processus qui est de joué un rôle adéquat dans une pièce de théâtre adéquat.

De toutes les vies sur terre il n’y a que l’humain qui ne se souviens pas de son premier contrat, parce qu’il se sert uniquement de son cerveau éphémère le rattachant à son tour par le billet de l’apprentissage et de l’enseignement liés à la peur de perdre son statue de dominant l’attachant ainsi à un autre cerveau éphémère et ainsi de suite formant des mallions d’une chaine elle-même éphémère dans le temps, allant le pénalisé au sein même de cet éphémère,

Comme cloué au paradoxe,

Comme s’il s’agissait d’un contrat que nous avions signé et oublié aussitôt après la naissance, un contrat condensé de la pièce a joué, un contrat rattrapé par le jeu de la peur et du manque signant et superposant par-dessus alors un nouveau contrat de lourdeur créant et manifestant la personnalité qui a force du relais égotique s’empoisonne elle-même en oubliant simplement par ou nous sommes arrivé avant d’être quoi que ce soit comme matière incarné .

Maintenant que nous avons enfin compris que tous les corps de matières sont uniquement des portes ou fenêtres mobile donnant d’un coté sur l’éphémère éphémère et de l’autre coté sur l’absolu absolu éternel, ainsi coincées entre le lourd et l’ultra léger, entre le ciel et la terre, nous nous rappelons que le contrat primordial signé est d’utilisé uniquement la fonction de cette porte afin de partagé nôtres vision d’une toutes petite parcelle de cet absolu existant, pour pouvoir vivre nôtres expérience que nous avons choisi sur cette terre et cela sans plus aucune crainte de quoi que ce soit .

Pour cela utilisé la fonction primaire de la porte c'est-à-dire tourné la clé appuyer sur la poigné et ouvrir la porte,

Nous donnants alors à voir ce qu’il y a de l’autres coté une fois la porte ouverte, nous y verrons et nous y voyons de la lumières de vie d’essence d’amour de nos origine d’illimitation illimité, nous voyons par nôtres cœur non physique l’infinité de ce qui ne peut être vu par de simple yeux analysent de son mental,

la lumière est derrière nous, il suffit juste de retourné le point de vu que l’on a sur nous-même et de ce que nous sommes en réalité, pour sentir ce que nous sommes nous devrions prendre conscience que la consciences serai d’une vue mental comme un nuage opaque ou se trouve derrière cette sorte de nuage l’observateur, ensuite réalisé que nous ne sommes pas ce nuage de conscience, ni cet observateur qui s’observe ,mais que nous sommes bien plus que cela bien plus que des mots qui désignerais quelques chose, nos origine viennent de la source de lumières amour magnétique dans son intérieur, voici donc pourquoi tout est en nous, la terre, la lune, le soleil, l’univers, et tous ce qui a été créé comme ce qui n’a pas encore été créé.

la pièce a joué.

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